L’affaire Renault devient un symbole d’espionnage industriel moderne entre les Etats et leurs secteurs stratégiques. Ceci n’est pas nouveau, mais il faut noter un accroissement, causé, selon les analystes par les BRICA (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Une bataille à la fois politique et technologique.
Un fait n’a pas été réellement repris par les grands médias. Cette semaine, en marge de l’affaire Renault qui secoue l’hexagone, un fait perturbe passablement le Pentagone et les Etats-Unis. Il semblerait qu’il y a eu, d’après des analystes, des vols de données qui pourraient être à l’origine de l’élaboration accéléré d’un avion de chasse furtif dernière génération en Chine. Un concurrent du célèbre F22 de Lockheed Martin.
L’affaire de l’avion remonte à la semaine dernière avec la diffusion de photographie (voir en illustration) d’un nouveau chasseur chinois publié sur internet et qui ont été reprise par le Wall Street Journal cette semaine. La Chine n’a pas fait de commentaires. Tandis que, les USA ont rapidement déclaré que la technologie chinoise était à des années lumières de pourvoir aboutir à ce type d’avion.
Renault indique qu’il a été victoire d’une filière internationale d’espionnage industrielle très organisé. L’histoire nous dira si la Chine est vraiment derrière cela, mais certains faits sont troublants. Il est vrai…
Une guerre économique débute. Elle fera des dégâts sérieux.