En période de crise, ce sont les entreprises aux business models « réels » qui s’en sortiront le mieux. Voici ce qui fera la différence.
Il n’y a rien d’exceptionnel à affirmer que lorsque l’économie traverse une mauvaise passe, les plus fragiles risquent d’y laisser des plumes. Et par conséquent, les entreprises positionnées sur des marchés émergents, ce qui est le cas des entreprises estampillées “Web 2.0″, mais pas seulement. Pour le coté “madame Irma”, on a déjà vu plus clairvoyant ou en tout cas plus visionnaire, étant donné qu’il est plus facile de sonner le tocsin lorsque l’incendie est déclaré, que de le prévenir, alors qu’on sait depuis plus d’un an que les pyromanes étaient à l’oeuvre.
Suite de l’article de Newzy « Quand le business reprend ses droits sur le buzzyness ».